lundi 13 janvier 2014

Benjamin Biolay

Un autre chanteur français d'aujourd'hui.


Pour ceux qui ne le connaissaitent pas, voici son site officiel.

Voici sa biographie.


Robert Doisneau



Voici un site intéressant pour découvrir la biographie du photographe.

Enfin une autre page utile.

Retrouvez les photos les plus connues de l'artiste.

 
Voici des photos en vidéos.
 

Jacques Prévert


Voici la photo que l'on a vu en clase, si vous voulez mieux connaître Prévert voici un site intéressant.

Sa biographie et ses poèmes, c'est ici.

L'un de ses poèmes les plus connus:

Les feuilles mortes

(musique: Joseph Kosma, paroles: Jacques Prévert, interprete pour la premiere fois par Yves Montand en 1946)
C'est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m'aimais et je t'aimais
Nous vivions tous, les deux ensemble
Toi que m'aimais moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur la sable les pas des amants désunis
Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux oů nous étions amis
En ce temps-la la vie était plus belle,
Et le soleil plus brűlant qu'aujourd'hui
Les feuilles mortes se ramassent a la pelle
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent a la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Les feuilles mortes se ramassent a la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidele
Sourit toujours et remercie la vie
Je t'aimais tant, tu étais si jolie,
Comment veux-tu que je t'oublie?
En ce temps-la, la vie était plus belle
Et le soleil plus brűlant qu'aujourd'hui
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais
Toujours, toujours je l'entendrai!
C'est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
 
 

samedi 21 décembre 2013

Cinéma: un air de famille

Des questions de compréhension sur une bande-annonce de film:

jeudi 19 décembre 2013

mercredi 18 décembre 2013

Cinéma: la nouvelle vague


Retrouvez les explications et les principaux réalisateurs.
Les films qui ont marqué cette époque, c'est ici.
Encore quelques exemples.

Le terme "Nouvelle Vague" apparaît sous la plume de Françoise Giroud dans l'Express du 3 octobre 1957, dans une enquête sociologique sur les phénomènes de génération. Il est repris par Pierre Billard en février 1958 dans la revue Cinéma 58. Cette expression est attribuée aux nouveaux films distribués en 1959 et principalement ceux présentés au festival de Cannes de cette année là. C'est une campagne publicitaire du CNC qui va définitivement balayer l'origine sociologique du terme pour l'appliquer plus strictement au cinéma.

Le coup d'envoi fut donné par Le coup du berger de Jacques Rivette en 1956, mais en fait le rejet du cinéma français officiel remonte à l'Occupation et à la découverte enthousiaste, au lendemain de la guerre, du cinéma américain.
La Cinémathèque puis la célèbre "revue à couverture jaune", Les Cahiers du Cinéma, servent d'école aux critiques qui vont bientôt s'emparer de la caméra. En 1958 ou 1959 François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Claude Chabrol et Éric Rohmer réalisent leurs premiers longs métrages.
Certains cinéastes partagent les même valeurs, même s' ils ne sont pas issus de la critique comme Jacques Rozier, Jacques Demy, Melville, Jean Rouch, Louis Malle, Roger Vadim. Maurice Pialat est trop individualiste pour se reconnaître dans un quelconque mouvement et Alain Resnais, qui patiente depuis 10 ans dans le court métrage réalise son étonnant "Hiroshima mon amour".

On voit apparaître une nouvelle façon de produire, de tourner, de fabriquer des films qui s'oppose aux traditions et aux corporations. L'invention du Nagra, magnétophone portable, celle de la caméra 16mm, légère et silencieuse, le goût des tournages en extérieur imposent une nouvelle esthétique plus proche du réel.
Cette rupture entre cinéma de studio et cinéma extérieur est illustrée notamment dans La Nuit américaine de François Truffaut (1973) : dans une mise en abyme, le film nous montre la réalisation d'un film avec caméra sur grue et décalages (tournage d'une scène d'hiver en plein été, tournage d'une scène de nuit en plein jour, la fameuse « nuit américaine ») ; Ferrand, le réalisateur (incarné par Truffaut lui-même), admet que ce film est sans doute le dernier à être tourné de cette manière, sorte de testament de l'« ancien » cinéma et de manifeste de la « Nouvelle Vague ».

Par ailleurs, les réalisateurs brisent certaines conventions, notamment les conventions de continuité. C'est ainsi que dans À bout de souffle, Godard coupe les blancs dans un dialogue. Ou encore dans La Jetée , Chris Marker présente une sorte de diaporama, une succession d'images fixes avec un narrateur unique et un fond sonore léger. Il ne s'agit pas uniquement de rompre avec une tradition par provocation, mais bien de faire ressentir quelque chose de nouveau au spectateur, ou encore de représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués, et lorsque l'on regarde un album photo, les souvenirs viennent dans le désordre avec des « sauts dans le temps ».

Ceci sera repris notamment par Abel Ferrara dans des films comme Black Out et New Rose Hotel, que l'on pourrait qualifier de « films cerveau » (les images sont montées comme viennent les pensées, dans le désordre).
Sans être à l'origine du mouvement, de nouveaux réalisateurs se reconnaissent alors dans la lignée de la Nouvelle Vague.
Ce sont principalement Jean Eustache, Jacques Doillon, André Téchiné et un peu plus tard Bertrand Tavernier, Claude Sautet, Michel Deville, Dominik Moll, Gilles Marchand, Yves Caumon, Philippe Ramos, Jean-Paul Civeyrac… L'arrivée d'une nouvelle génération d'acteurs (Jean-Paul Belmondo, Brigitte Bardot, Anna Karina, Jean-Claude Brialy, Bernadette Lafont, Alexandra Stewart, Anne Wiazemsky, Chantal Goya, Jean-Pierre Léaud, Jeanne Moreau, André Dussollier, Henri Serre…).

lundi 16 décembre 2013

Les journées du patrimoine

Elles ont lieu au mois de septembre et pendant deux jours il est possible de découvrir plus de 15000 monuments dont certains fermés au public pendant l'année seront exceptionnellent ouverts. En 2010, 12 millions de curieux avaient visité les sites ouverts pendant ces deux jours de visite.

Retrouvez cet article intéressant sur l'intérêts de ces journées.

Je vous propose de voir ce reportage du journal télévisé à propos des journées.